4L Trophy 2017- Jour 8: Etape Marathon première journée !
23/02/2017
Ce matin nous sommes réveillés en musique par l'hymne du 4L Trophy !
C'est notre dernier réveil sur le bivouac de Merzouga. Après un petit déjeuner rapide nous plions le camp sans rien oublier. Toutes les 4L prennent la route presque en même temps, nos équipages se retrouvent à faire la queue avant le check-point du départ !
Nous partons donc sous un concert de klaxons accompagnés des 4L bordelaises et bretonnes qui nous accompagnent depuis plusieurs jours.
La journée commence avec quelques ensablages, rapidement l'équipage 986 prend de la distance en optimisant son parcours le plus possible.
Le classement à l'issue des deux boucles donne Yon et Anthony à la 4ème place du classement général ! Ils sont au pied du podium et donnent tout pour être dans les 3 premiers !
Il faut aussi ne pas perdre trop de temps, l'étape marathon se déroule sur deux jours et permet de rallier Merzouga à Marrakech, cela représente une grande distance.
Tout le monde roule donc le plus possible en faisant tout de même quelques pauses.
L'organisation a interdit à tout équipage de rouler de nuit, ainsi au coucher du soleil, chaque équipage doit s'arrêter et faire son propre bivouac en autonomie.
L'équipage 986 s'arrête à Tazarine en fin d'après-midi et espère que l'équipage 1293 et leurs amis bretons et bordelais auront le temps de les rejoindre.
A Tazarine sont présents quelques mécanos et leurs camions car c'est le point de sortie de la partie désertique de l'étape marathon.
Il y a donc un mini bivouac avec une trentaine d'équipages.
Lors du check-up quotidien, Yon et Anthony ont encore une mauvaise surprise en découvrant que la soudure de leur châssis n'a pas tenue pendant ce premier jour d'étape marathon. Le châssis est même plus endommagé que lors de la précédente casse...
Heureusement que les mécanos sont là, c'est réparé en quelques minutes !
Le soleil se couche, Antoine et Remy n'ont pas le temps de rejoindre Anthony et Yon à Tazzarine, ils doivent s'arrêter de rouler.
Le bivouac se fait donc en autonomie pour nos deux équipages en attendant le deuxième jour d'étape marathon.
